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19 juin 2012 2 19 /06 /juin /2012 11:03

Notion d'argent, de société, de projet.

Ces notions tournent autour des trois chakra du bas.
Les résoudre c'est résoudre une partie de ce niveau là.

Ca se résoud dans sa société et son éducation. (fuir en Inde pour un occidental n'a aucun sens, les difficultés / épreuves sont différentes).

 

- Remettre l'argent à son rôle et à sa place réels.

L'argent est souvent diabolisé ou divinisé (source de tous les malheurs et solution à tout de manière générale).
Or, le problème réel est bien plus profond que l'argent lui même, simplement parce que l'argent est mis dans un rôle qui n'est pas le sien.

Un billet n'a de valeur que s'il change de main : l'argent est une simple énergie de partage.
L'argent est une énergie qui va là où l'on a besoin d'elle (au niveau inconscient).

Même le plus fauché du monde aura toujours les moyens financiers de fumer sa clope, simplement tant que c'est un besoin inconscient.

 

Trois axes de travail principaux sur des croyance inconscientes profondes :
Croire que le bonheur est limité, Déni des besoins, déni des projets.

 

- Croire que le bonheur est limité,  et que donc si on en a , on est un salaud qui le vole à un autre.
Inversement si on est malheureux, on a forcément pris le malheur général sur soit et on est gentil.

Cette croyance très chrétienne est tellement imprégnée inconsciement dans toute notre société (y compris dans les entreprises) qu'il faut un sacré coup de balai dans l'inconscient pour la dégager.

Comme l'argent est vu comme source du bonheur, si on a de l'argent on a forcément volé le bonheur à un autre.

L'argent n'est source de rien, solution de rien, c'est une simple énergie de création solidaire.
Ca résoud rien, sinon les riches ne se suicideraient pas (suffit de voir les rock stars et autres ).

Le bonheur de chacun ne dépend que de lui, rien de plus, rien de moins
Travailler sur son droit au bonheur et au malheur, retrouver sa responsabilité dans sa création et rendre leur pouvoir aux autres dans la leur.


- Dénis des besoins (Grande spécialité des français de manière générale).
Ne pas accepter ses besoins réels, par peur d'etre rejeté par les autres.
Si je suis celui qui consomme trop, on va me rejeter de la tribu car je la mets en péril.
Peur d'être compétent / incompétent : la France est un pays où on aime bien couper ce qui dépasse (d'où l'invention de la guillotine), donc tout ce qui dépasse doit rester abstrait. (C'est pour _ça qu'on invente plein de concepts abstraits. et que les pays où la matière n'est pas diabolisée les réalisent : états unis, angleterre etc..)

C'est pour ça que nos intellectuels qui ont des projets concrets fuient à l'étranger.

 

Les besoins répondent à la notion :
si je remplis mes besoins réels je suis en vie, sinon je suis en survie.
80% de la population se met en survie et cherche toujours à boucler la fin du mois.
Pourquoi donc se mettre dans cette situation (inconsciement bien sur, ça n'est pas conscient).

 

Parce que sinon on doit exprimer l'étape d'après :

 

- Dénis des envies et des projets (peur d'exprimer qui on est et que ça soit visible dans la société).
Si je peux créer dans la société, je deviens visible pour ce que je crée.
Tant que je n'exprime que des projets abstraits personne ne peux les juger.

Si je commence à créer on va forcément me renvoyer trois niveaux de regard:
Ceux qui adorent.
Ceux qui s'en foutent.
Ceux qui détestent.

On est dans un monde relatif, et il y a forcément les trois types de comportement.

Accepter les trois pour accepter d'exister socialement (autrement qu'en survie).


En gros un travail sur l'être et le paraitre à faire, dans l'inconscient.
(on y trouve notre référence dynastique entre autres).


=> Le problème encore plus profond, est l'acceptation de l'interdépendance de tous dans l'univers, et l'humain n'est lui même qu'un phénomène interdépendant du reste.
Entre autres accepter notre interdépendance avec les autres: c'est le plus gros problème de la fuite spirituelle (ou virtuelle pour le plus grand nombre : jeux vidéo etc..) où la personne cherche à devenir absolue dans du relatif.

 

 

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commentaires

F
Le rapport a l argent n est il pas directement lié a notre enfance, a la façon dont nous avons manque ou reçu affectivement ? On ne donne en principe qu en fonction de ce que l on a reçu ? L on peut être le plus pauvre et le plus heureux mais également le plus riche et le plus malheureux. Tout travail mérite salaire car il faut bien vivre mais si l argent devient un problème du quotidien comme la peur de manquer, alors qu il n y a aucune raison en soi , le problème ne se pose t il pas effectivement ailleurs. Un manque réel d argent peut engendrer stress car factures a payer, mais autrement a quoi bon se casser la tête ? Non ?
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