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26 janvier 2013 6 26 /01 /janvier /2013 07:47

Travail sur l'élitisme

 

Le début d'année semble marqué par un vidage du principe d'élitisme (donc il sort en force), avec le lot de dépression sous-jacente qu'il cache.


Pour l'humanité (la 1ère et la 2ème guerre mondiale sont, semble-t'il, reliées à cette énergie).

L'élitisme est une conséquence de la peur de l'autonomie.


On a peur d'intégrer l'autonomie, à la place on garde le modèle de 'papa' et 'maman' d'enfant, l'image idéalisée de l'adulte qui 'sait'.

 

On cherche donc quelqu'un qui a l'air tout puissant pour se rassurer et on prend son système comme modèle au lieu d'écouter le sien.


Spirituellement ça fait de l'Ego spirituel : on veut copier, Jésus, Bouddha ou d'autre au lieu d'écouter sa propre voie et son propre centre.

 

Grandir un peu et sortir de l'élitisme ramène à sa propre voie et sa propre autonomie, mais aussi à son rôle dans la vie et dans l'humanité.


Pour l'instant on vide l'émotionnel sous-jacent à l'élitisme et les conséquences de la première et deuxième guerre mondiale dans les profondeurs de l'inconscient.


Couple

 

Les petites filles sont dans une relation platonique avec leur père et les petits garçons avec leur mère.

 

Normalement si l'autonomie s'installait, entre 8 et 10 ans il semblerait que l'enfant devrait lâcher l'image idéalisée des parents pour préparer l'adolescence et le départ dans le monde.

Or, cette énergie n'existe jamais (à cause de l'élitisme) et les adultes restent infantilisés et en relation avec leurs parents 'idéalisés' qu'ils se révoltent contre eux ou non dans la matière.

 

La haine et la colère sont une forme d'attachement aussi puissante que n'importe quelle passion, et ceux qui fuient leur famille le plus possible ou la diabolisent en sont en fait complètement dépendants émotionnellement.

Il faudrait faire le deuil de cette relation avec les parents pour pouvoir entrer dans une relation de couple adulte et non idéalisée.

 

Ce comportement inconscient crée naturellement les politiques, les rois, les messies, prophètes et toute autre image d'autorité paternaliste ou matriarcale, conséquence simple de l'infantilisation à vie des gens dans la société.
Il s'agit d'un moyen pratique de fuir sa responsabilité dans la création de sa propre vie, qu'elle soit matérielle ou spirituelle.

 

Manipulation collective et élitisme.

 

Pour manipuler une bande de gens infantilisés il suffit simplement de leur faire peur, annoncer une catastrophe potentielle ou autre. Instinctivement l'enfant va chercher la main de papa ou maman pour se rassurer, il suffit donc qu'un politique ou tout autre image paternelle se présente et donne ses idées et tout le monde obéit.
Très simple.


Chimpanzés pensants, rapport à l'animalité.

Notre société se résume à une bande de chimpanzés pensants, obsédés par le mental et occupés à échanger sans arrêt des bouts de mental cristallisés sous forme de papier. (Diplômes, billets, contrats etc..). Ce jeu obsède tout le monde et occupe toute la vie.

 

L'autonomie est la capacité à entrer dans n'importe quel système et s'adapter, y compris celui des chimpanzés pensants, pas à le fuir ou à vouloir provoquer l'autarcie, donc s'il faut des bouts de papier autant jouer avec. Si on a transcendé un fonctionnement on est capable de le gérer, ceux qui fuient ce jeu ne savent pas le gérer et ne sont pas prêts à fonctionner à un niveau supérieur de toute façon.

 

Accessoirement si on renie un système il nous renie aussi et tout ou tard on se fait brûler sur le bûcher parce qu'il manque un bout de papier quelconque (avez vous le droit d'être ici ? de faire cela ? bla bla), alors autant donner leur bouts de papiers aux chimpanzés pour pas les exciter.


Un chimpanzé a besoin de vivre en tribu pour s'épouiller, d'écouter son plaisir et son instinct. C’est notre nature animale et notre rapport à notre corps.


Si on refoule cette part de nous, elle devient toxique et finit par nous dégueuler par les oreilles sous forme de dépression profonde cachée, présente chez plus ou moins tout le monde.

Accepter la part de chimpanzé en nous, pour vivre en harmonie corps / esprit humain, sinon on intellectualise tout et fuit le corps, ce qui provoque directement la maladie : le corps va s'exprimer comme il peut si l'esprit ne l'écoute pas.


Prédateur psychique et animalité refoulée.

 

Si on refoule sa part d'animalité on va entrer facilement dans la logique de prédateur psychique, qui est l'instinct de survie mal placé du chimpanzé pensant.


Cette prédation est omniprésente dans la société et totalement acceptée.

La tête est une cruche percée pleine d'énergie psychique qui se vide au cours de la journée.
Quand les gens n'ont plus d'énergie ils utilisent des stratégie diverses et variées pour en voler à d'autre.

En intoxiquant avec leur poubelles émotionnelles, en harcelant l'autre d'une manière ou d'une autre. Les stratégies sont légion.

 

En entreprise le petit chef qui prend le pouvoir pouvant aller jusqu'à vider l'autre de toute volonté de résister, est un grand classique.

 

Le chimpanzé en costard cravate n'est guère mieux qu'un vulgaire animal chasseur de tête.

Le seul moyen de sortir de cette logique est d'être centré et de laisser jaillir l'énergie du centre (qui elle, est infinie), sinon quand c'est la tête qui fonctionne en excès comme dans le cas de notre civilisation, tout le monde essaye d'avoir plus d'énergie et ne sachant pas la générer à partir de rien, essaie la voler à d'autres.

 


Quelques résonances.

'La peur du pouvoir des parents ne transcende pas l'état de chimpanzé mutant.'

'Aimer le chimpanzé qui est en soi plutôt que le brûler dans l'effigie de grand papa'.

 

 

 

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